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Up.The.Bracket

Up.The.Bracket
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16 novembre 2007

Verbeux papotage.

Bonjour. Je n'ai pas posté depuis le quatre Novembre, c'est à dire la veille de mon decé.
Je suis morte le cinq physiquement, moralement, ma "bonne" conscience en a pris un coup aussi, ma confiance et mon égo aussi.
Le tout à la fois pour la décadence en enfer, le bad perpétuel, l'agonie morale et mon sempiternel chagrin.
A l'instar de Doherty, mes bonnes idées en prolifération voilà le résultat des bonnes choses stimulantes, des compliments qui refaçonne ta sale gueule, de lui, du beau, du bien, du faux.
Cette relation est telle qu'une aberration frivole, un instant illusoire.
Je n'occupe même plus mes heures indues à vous raconter ma vie, ces soliloques ne mène qu'a de futile verbiages.
Je fais une pause, vous ne me verrez plus avant un bout de temps, je pars me dépraver un peu, beaucoup, tomber de haut pour me relever ensuite, c'est foncièrement mal je le sais, mais je vous aime c'est le principal.

Votre ado de base et ses théories rhétoriques.

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4 novembre 2007

Enything else to say?

Nothing to say

3 novembre 2007

Someday

OMALLEY

3 novembre 2007

...

Les petits gateaux au chocolat, à 02:01 avec ta jumelle, genre fenetre ouverture, sapé hippy te donne envie de quicher sur ta splendide journée.

Ta principale qualité; hum disons ta ponctualité. Toujours à l'heure, on en pourra pas t'avoir, surtout aujourd'hui quand pour cause The bus, tu as 15 minutes de retard. Mais ce n'est que le néant par rapport à la suite...

Il est là, il t'attends toi et ta jumelle, les minutes passe, tu découvre qu'il te manque des chromosomes, mais t'arrive a vivre avec. Et même s'il se fou de ta yeule sa lui plait. Parce qu'a minuit, la petite lumière de ton télèphone éclaire le noir qui envhait la pièce, baignée dans l'ambiance glauque de Requiem for a dream. Un bras noir, des fesses à fesses andiablés humm. Cette lumière c'est juste le l'annonce d'un message. Dix centimes juste pour prendre des nouvelles de sa trisomique. Admirez.

Nous en étions à ces 15 minutes de retard, on serait pas venu on aurait rien perdu, la discution nous emmene à travers les minutes qui passent... Ils ont plusieures heures de retard à présent. Et il s'en va.

On se retrouve comme deux connes, deux/trois Benson à finir. Elle se sent mal, les Benson ou l'accumulation de souffrance a cause de "ils" qui la rende vainqueur dans la matière de la souffrance. Yora rien a ajouter bande d'alcoliques je vous quite, une fenetre orange clignote en bas de l'écran.

1 novembre 2007

If I have to go... I will be thinking of...

Ce soir je ne pourrais te dire ce que je ressens vraiment, je suis entre deux. Entre deux rives, entre deux pays, entre deux chansons, entre deux humeurs, et entre deux « Ils ». Tout comme toi. Puis ce soir je n’ai qu’une envie, boire comme un trou pour oublier que je me suis tromper de rêve, d’ailleurs toi aussi je suppose. Et tout comme moi, déchet de cette société blazante tu pense à demain. Demain on pourra, comme deux adolescentes en cavale dépourvu de toute capacité d’analyse, parce qu’il faut analyser que demain nous allons mourir, oublier. Mais a quoi bon. Les opposés s’attire me dis tu, un bac L et un bac S. Pourtant opposé oui mais pas vraiment, un peu mais pas quasi, regarde ; deux âmes d’enfants, deux sourires bien charmants, deux silhouette innocentes, rassurantes ascendant sadiques. Et deux visages de marbre cachant des folies démesurées de délires incontrôlables couvrant de nombreuses nuits a pleurer sans répond valable. Sans compter des après-midi de bad a fumer pour se dire que mourir d’overdoz nous évitera toute routine inévitable peu apropriée a deux caractère mélés impulsifs sans abus, de contestable efforts pour s’en sortir mais pas trop. Puis je mens, je mens tout le temps, et tu mens avec moi parce que si je cache si bien ma vie, si s’en ai encore une, toi tu pourrais l’écrire sans oublier un détail. On parlerai pas de livre ouvert mais plutôt d’un long roman rédigé ensemble dont on connaît chaque secret, une bible surement, qui s’écrit au jour le jour. Ce commentaire j’hésite a le poster de peur que les gens découvre que quelqu’un est capable d’écrire tant d’horreur à propos d’une dure réalité. Si je saute combien de gens regretteront ton suicide ! Et si un jour Doherty était mon nouveau Rimbaud, un homme pour une vie, combien de gens te cracheront dessus pour avoir comme beau frère un Wilde en levis crade. Et si je devais consommer une drogue sa serait le manque de toi. Tu es un peu ou pas vraiment la lumière d’un rêve, pas vraiment pour montrer que je n’adule pas ta personne, un peu pour monter que je t’admire. Et que je t’aime.

A toi.
Pour une jumelle qui n'a pas de nom, que j'aime et que j'admire beaucoup.

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31 octobre 2007

Happy Halloween bande de dépravés.

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Halloween, un jour surligné au fluo rose sur mon agenda. Pas pour les citrouille, pour quelqu'un.

30 octobre 2007

Down in Mexicallli!

englandbutt

Hello my people.

Aujourd'hui j'ai fais un grand pas pour l'humanité. Un petit pas pour la mode un grand pour l'huamnité! J'ai testé les Gola avec un slim. Je peux vous dire que c'est acceptable. Puis Down in Mexico merde! Sa c'est quand j'ai vraiment pas d'inspiration, jvous aime zut.

Les Benson sont magnifiques d'après Eulaïze. Et je cherche un hopital psychatrik. Et des gens savent où j'habite. Puis je vous ai menti, il est bel est bien à nouveau dans mon coeur. Je n'ai pas vraiment grand chose a dire. Je manque d'inspiration ces derniers temps.

Adieu depraved.

29 octobre 2007

Horse with no name

down_in

Petits vous... Son pseudo msn clignote de nouveau en ba de mon écran, tout comme ces petits surnoms qui te donne envie de marcher sur un petit nuage. Adolescente pitoyable que je suis, même pas amoureuse et déjà si réveuse. nan! Je refuse, je suis juste talentueuse. Juste que je m'apperçois que le gars qui hante tes rêves les plus torrides pourrait se transformer en l'ami à qui tu devoile tes chauds chauds secrets, qui te fait des bisous dans le cou merci et qui t'offre du coca cola sur un air qui sent Music When The Lights Go Out. Tous ça parce que je suis talentueuse, que j'en ai en reserve, je vends et rachete des mecs, mes esclaves.

Et tout comme une bonne fille qui fait marcher le commerce le plus nocif j'ai claqué cinq euro, admirez c'est un ordre! Et aujourd'hui la fille qui m'a tenu compagnie avait mal au pied, mais elle était magnifique, prête a passer des études artistiques, comme moi, pauvres victimes que nous sommes elle et moi on s'aime.

Et ce soir il revient  a l'attaque, je vous l'ai déjà énnoncé mais sa me plait, ma vie est mouvementée, je suis une grande anonyme pour vous, petite dans la matière de la routine, pourtant predestiner a sombrer dans une vie comme la votre. Mais tant que cette vie merite encore d'être écrite, ragez, pensez que vous pourriez avoir la même.

Amis du Souère BonsOuère.

27 octobre 2007

Bang Bang you're dead

A coup de mal je fais ma vie et je meurs tout les jours. Et tout comme aujourd'hui, après un stress incontrolé dans les près avec ma putain de jumelle, qui aurait pu nous conduire a une mort proche mais nous avons à faire à une affaire classé. Puis y'a cette putin de cacahuète que j'aime merde qui me met ma routine sous le nez, alors je tate encore dans ce qu'on apelle la routine de jours que l'on ne compte plus. Et surtout a cause de cette routine, on fait marcher l'économie mondiale du fond de teint pour cacher les traces de nos nuits blanches à bader. On meurs tous un jour, et ceux qui eviteront la routine mourrons avant.
Puis y'a ce monsieur qui comme les BN te redonne le sourire, y'a cette date encré dans ton cerveaux où tu va te fouttre en l'air dans un état à froler le coma.
Puis y'a cette putain de soirée mais merde c'était ce soir, où est que des gamins, pas assez grand pour assumer. Assumer qu'on se bouffe la vie et que l'on meurs tous les jours. Et la roue tourne.

ET JE FERAIS DE LONGUES ETUDES A LONDRES. DOHERTY JE T'AIME.

gfuj

26 octobre 2007

Summer nights

nanana

Comme la couleur rouge du communisme que je hais ma porté chance ce matin, un brevet blanc sur Staline, plutôt pas mal gérer. Mais je ferais pas de roman ce soir. Tout va mal, j'avais résond, il m'a tué.

You shot me down bang bang, I hit the ground bang bang, That awful song bang bang, my baby shot me down...

Je passe a autre chose, heuresement que j'avais dla réserve derrière, au oui je suis une salope. Et eux alors?
A cause des mecs, plus rien ne t'empêche d'être une salope et faudrait tous les castrer.

Je te deteste pute! Ce mec est une pute.

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